Article rédigé par K. (notre fidèle reporter)
Ahhh les contes de fées ! Des princesses, des rois et des châteaux. On nous raconte depuis toujours de belles histoires qui finissent toujours bien, où il y a toujours une princesse qui emménage dans un beau palais ! Alors effectivement, on aime bien les belles histoires et en ce qui nous concerne, à l’ESAM, on aime aussi les châteaux, car nous avons longtemps cherché le nôtre. Mais une question nous interpelle tout de même… Comment les princes ont fait sans perceuse Bosch ou autre ponceuse Black & Decker !
Les grands “chez soi”, on est d’accord c’est top, mais les travaux ne s’arrêtent jamais ! En effet L’ESAM a pris ses quartiers dans son nouveau bâtiment il y a un mois, après un été de travaux interminables, et malgré tout, nous sommes encore et toujours un tournevis à la main. Nous devons bien admettre que pour pouvoir poser ses valises définitivement il y a une multitude de petits détails à régler ! Comme vous le savez à L’ESAM, ce qui nous préoccupe, c’est le bien-être de tous les L’ESAMers, ainsi que celui de nos coachs et de tous ceux qui travaillent avec nous. Mais du coup, écouter les velléités de chacun et chacune nous oblige à bricoler sans cesse. Tiens, il n’y a pas assez de porte-manteaux, rien pour ranger les chaussures… Une tringle à rideaux par-ci, un porte-documents par-là ! Mais ça ne s’arrête jamais ou quoi ? Bon, rassurez-vous, maintenant L’ESAM est bien au chaud et l’hiver peut s’inviter aux cours du soir, nos L’ESAMers le seront aussi.
Ce fut dur, mais aujourd’hui quand nos petits artistes montent sur l’estrade qui trône dans la grande salle de spectacle, nous oublions un peu les heures passées à prévoir la façon dont elle a été conçue. À chaque fois qu’une petite ballerine effectue son pas de danse sur le parquet, on oublie les heures à genoux à clipper les lattes entre elles. Et quand résonne dans les murs de L’ESAM la voix d’une personne venue prendre son cours de chant, on se dit que nos L’ESAMers méritaient bien tous ces petits coups de marteau !
Bien sûr, Cécile et Emilie sont conscientes qu’un bâtiment de la taille de celui qu’occupe L’ESAM aujourd’hui va demander, pour quelque temps encore, quelques trous percés et quelques chevilles dans les murs, mais ça en valait vraiment la peine. Et puis être L’ESAMers a pris tout son sens durant cette période de dur labeur, car plusieurs d’entre eux sont venus mettre la main à la pâte et nous ne les remercierons jamais assez.
Les salles de spectacles, de danse ou de chant sont maintenant prêtes à vivre aux sons des notes de musique et des spectacles de danse en espérant toutefois que le parquet survive aux séances de sport endiablées de nos coachs sur-vitaminés ! Quoi qu’il en soit nous allons garder la caisse à outils proche de nous quelque temps encore, histoire de pouvoir effectuer tous les petits réglages qui s’avéreront nécessaires. Et si jamais un L’ESAMers s’ennuie un peu trop, on aimerait bien qu’il effectue quelques recherches sur la construction des châteaux, car nous restons persuadés que Black & Decker existait à l’époque médiévale…
K.